Racket : en parler c’est le faire cesser !
Racket :
I). — Racket, c’est ce que le code pénal appelle extorsion ou vol avec violence.
Le racketteur exige de sa victime de l’argent, des objets ou des vêtements en le menaçant, en utilisant sa force physique
ou encore en lui faisant du chantage.
C’est un délit, il est donc puni par la loi.
Dans les vieux dictionnaires, on ne trouve pas ce mot. Il apparaît à Chicago (aux États-Unis) vers 1920.
Mais si le mot est récent, le fait de terroriser quelqu’un pour obtenir quelque chose est un bien vieux procédé.
En anglais le mot racket signifie escroquerie et c’est dans ce sens que l’on utilise ce terme en France.
II). — Le racket est donc défini par l’article suivant:
« L’extorsion est le fait d’obtenir par violence, menace de violences ou contrainte soit une signature,
un engagement ou une renonciation, soit la révélation d’un secret, soit la remise de fonds, de valeurs ou
d’un bien quelconque.
L’extorsion se trouve punie de sept ans d’emprisonnement et de 100 000 euros d’amende. »
III). — Comment réagir ?
(Racket)
A). — régler le litige à l’amiable :
Une fois au courant, il est impératif de contacter les parents responsables de l’auteur du délit ainsi
que la direction de l’établissement dans lequel il se trouve.
La famille d’abord et ensuite, l’école sont les deux foyers d’éducation dans lesquels l’apprentissage des conflits se fait.
La justice n’a à intervenir qu’en cas de défaillance de ces dernières.
Les parents doivent user de leur autorité parentale pour faire prendre conscience à leur enfant de la gravité de ses actes.
Si cela ne semble pas porter ses fruits, une sanction dans le cadre de l’école semble conseillée.
B). — Porter plainte au commissariat :
(Racket)
Il faut porter plainte au commissariat de police ‘abord, ou bien à la brigade de gendarmerie.
Peu de familles effectuent cette démarche, elles préfèrent souvent déposer une main courante, c’est-à-dire qu’elles
déclarent les faits, mais refusent que l’auteur du racket soit poursuivi.
Plus que la peur des représailles, c’est le sentiment de honte qui les anime.
Dans nos mœurs, la délation se réprime. Rapporter, dénoncer, être en langage moderne une « balance », est synonyme d’exclusion.
La victime et ses parents sont reçus, écoutés et interrogés par un policier ou un gendarme.
La déclaration de l’enfant est généralement prise sans la présence de son père et de sa mère, pour ne pas influencer son discours.
Une enquête est ensuite menée et si les faits sont avérés, l’agresseur est interpellé.
C). — La justice est saisie.
(Racket)
Si l’on porte plainte, l’auteur sera convoqué devant le Procureur de la République qui enquêtera sur les faits qui lui sont reprochés.
Il détient l’opportunité des poursuite : Il peut décider de classer l’affaire sans suite, ou s’il estime que l’auteur mérite une sanction,
il saisira le juge pour enfants.
Ce dernier évaluera et personnalisera la sanction adéquate qui permettra à l’auteur de ne pas recommencer :
Elle va de la simple admonestation (vive réprimande, avertissement sévère), en passant par la réparation (présenter ses excuses
et dédommager la victime si elle approuve), le travail d’intérêt général, la remise aux parents ou à un éducateur, jusqu’au
placement dans un centre spécialisé pour les cas les plus graves.
Il est important en tant que parents ou éducateurs de rassurer l’enfant victime de racket et de le déculpabiliser.
Ne rien dire c’est inciter l’auteur du racket à recommencer.
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