Les concours réels d’infractions
1).Les concours réels d’infractions :
I). — Les concours réels d’infractions : Une exception au principe non bis in idem
(Les concours réels d’infractions)
Le droit pénal repose sur des principes fondamentaux visant à garantir une justice équitable
et proportionnée. Parmi eux, le principe non bis in idem interdit qu’une même personne soit
jugée ou condamnée deux fois pour les mêmes faits. Toutefois, certaines situations permettent
un cumul de qualifications et de sanctions pénales. L’une de ces exceptions est le concours réel
d’infractions, qui se produit lorsqu’un individu commet plusieurs infractions distinctes
dans un laps de temps rapproché.
Cette notion est encadrée par l’article 132-3 du Code pénal, qui fixe des limites au cumul des peines.
Elle joue un rôle essentiel dans la répression des comportements délictueux en assurant une
prise en compte complète des infractions commises, tout en évitant des sanctions excessivement
lourdes.
I). — Définition et distinction avec le concours idéal d’infractions
(Les concours réels d’infractions)
A). — Définition du concours réel d’infractions
Le concours réel d’infractions se produit lorsqu’un individu commet plusieurs infractions distinctes
par des actes séparés, qui sont jugés dans une même procédure. Ces infractions peuvent être de
même nature (ex. plusieurs vols) ou de nature différente (ex. un vol suivi de violences).
Exemple :
Une personne qui force l’entrée d’un magasin pour voler des objets (vol aggravé) et qui en tentant.
de s’échapper, frappe un vigile (violences volontaires) réalise un concours réel d’infractions.
B). — Distinction avec le concours idéal d’infractions
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Le concours réel ne doit pas être confondu avec le concours idéal d’infractions, qui se produit
lorsqu’un même acte constitue plusieurs infractions.
Exemple de concours idéal :
Une personne qui diffuse une fausse information sur internet pour tromper des investisseurs
pourrait être poursuivie pour escroquerie et diffusion de fausses nouvelles. Ici, un seul fait
est en cause, mais il viole plusieurs dispositions pénales.
Dans un concours idéal, les juges doivent choisir l’infraction la plus appropriée ou appliquer
des règles spécifiques de cumul, alors que dans un concours réel, les infractions sont jugées
indépendamment les unes des autres.
II). — L’exception au principe non bis in idem
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A). — L’importance des intérêts protégés
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En principe, lorsqu’un même fait constitue plusieurs infractions, seule l’infraction principale
doit être retenue pour éviter une double sanction. Cependant, le concours réel est admis lorsque
chaque infraction porte atteinte à un intérêt distinct.
Exemple jurisprudentiel :
** Une personne vole un portefeuille dans un magasin (vol).
** En s’enfuyant, elle pousse une personne qui tombe et se blesse (violences involontaires).
Le vol concerne un délit contre les biens, tandis que la violence porte atteinte à l’intégrité physique
d’une personne. Ces infractions sont donc autonomes et peuvent donner lieu à des sanctions
distinctes.
B). — Le Cadre légal : L’article 132-3 du Code Pénal
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L’article 132-3 du Code pénal fixe les règles de cumul des peines en cas de concours réel
d’infractions :
** Chaque infraction peut être sanctionnée indépendamment.
** Si plusieurs peines de même nature sont encourues, une seule peine de ce type peut
être prononcée, dans la limite du maximum légal le plus élevé.
Exemple :
Si une personne est reconnue coupable de deux délits passibles chacun de 5 ans d’emprisonnement,
le juge ne pourra pas lui infliger 10 ans de prison, mais au maximum 5 ans.
Cette règle protège les individus contre une accumulation excessive des peines tout en assurant
une répression efficace des infractions commises.
III). — L’application jurisprudentielle et pratique
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A). — Les exemples de concours réel d’infractions
Exemple 1 :
Vol et Recel
1). ** Une personne vole un téléphone portable.
2). ** Le lendemain, elle revend ce téléphone à un tiers en connaissant son origine frauduleuse.
Ici, nous avons un vol initial et un recel distinct, chacun constituant une infraction autonome.
Exemple 2 :
La conduite en état d’ivresse et mise en danger de la vie d’autrui
** Un conducteur en état d’ivresse roule à grande vitesse et manque de renverser des piétons.
** Il est poursuivi pour conduite sous l’empire d’un état alcoolique et mise en danger
de la vie d’autrui.
Ces deux infractions poursuivent des objectifs de protection différents (ordre public routier vs.
sécurité des personnes), justifiant un concours réel.
B). — Les effets du concours réel sur les peines
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Les conséquences du concours réel d’infractions sont majeures en matière de sanctions :
** Le cumul des peines :
Plusieurs infractions étant retenues, plusieurs sanctions peuvent être prononcées.
1). — Principe du plafonnement des peines similaires :
Lorsque plusieurs peines de même nature sont prévues, seule la plus haute peut-être
appliquée (article 132-3 du Code pénal).
2) — Effet sur les récidives :
Un concours réel peut aggraver une future condamnation si l’individu récidive.
C). — Les limites et critiques du concours réel d’infractions
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Certains auteurs critiquent le concours réel, estimant qu’il peut entraîner une sévérité
excessive. En effet, même si les peines sont limitées par le maximum légal, l’accumulation de
sanctions peut aboutir à des peines disproportionnées.
Exemple controversé :
Une personne condamnée pour trafic de stupéfiants et blanchiment d’argent peut voir ses
peines cumulées, rendant plus difficile un éventuel aménagement de peine.
IV). — La comparaison avec d’autres systèmes juridiques
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Certains pays appliquent différentes approches pour gérer le concours réel d’infractions :
** Droit allemand :
Principe de l’« absorption des peines », où seule la peine la plus lourde est prononcée.
** Droit anglo-saxon :
Application du principe de « consecutive sentencing » (cumul total des peines) ou « concurrent
sentencing » (peines purgées simultanément).
Ces différences montrent la diversité des approches en matière de cumul des infractions et
des peines.
En conclusion
Le concours réel d’infractions constitue une exception importante au principe non bis in idem,
permettant de sanctionner pleinement les infractions commises tout en maintenant un certain
équilibre grâce au plafonnement des peines similaires.
Toutefois, cette règle pose des questions en matière de proportionnalité des peines, notamment
lorsque plusieurs infractions entraînent une répression particulièrement sévère.
L’encadrement du concours réel par l’article 132-3 du Code pénal apparaît donc comme un
compromis entre efficacité répressive et équité judiciaire.
Enjeux à venir : Certains débats portent sur une réforme du cumul des peines afin d’adapter
la répression aux réalités judiciaires et aux droits des justiciables.
Ainsi, le concours réel d’infractions illustre bien les tensions permanentes entre sévérité pénale
et garantie des droits fondamentaux.
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Le cumul d’infractions peut entraîner des sanctions plus sévères. Les infractions doivent être qualifiées selon la législation en vigueur. Les violations des lois pénales sont passibles de poursuites judiciaires. Les sanctions varient en fonction de la gravité des infractions commises. La responsabilité pénale engage l’auteur d’une infraction devant la justice. Une peine peut inclure une amende ou une peine de prison. Le droit pénal encadre les infractions et leurs sanctions. Les tribunaux jugent les affaires criminelles et délictuelles. Un délit est une infraction de gravité intermédiaire. Un crime est une infraction particulièrement grave. Une contravention est une infraction légère sanctionnée par une amende. La récidive est prise en compte pour alourdir les peines. Une infraction pénale est constituée d’un élément moral et d’un élément
matériel. L’intention criminelle peut être déterminante dans la qualification d’une infraction. L’imprudence et la négligence peuvent aussi
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constituer des fautes pénales. La complicité engage la responsabilité d’une personne aidant à commettre une infraction. La coaction désigne la participation conjointe à une infraction. Une infraction peut être commise par omission lorsqu’une obligation légale n’est pas respectée. La violation de loi est une cause fréquente de poursuites pénales. Les faits répréhensibles doivent être prouvés devant la justice. La responsabilité pénale est individuelle et ne peut être transférée. Une poursuite judiciaire est engagée par le ministère public. La condamnation entraîne l’application d’une peine prévue par la loi. Une peine principale peut être complétée par une peine complémentaire. L’emprisonnement est une sanction privative de liberté. L’amende est une sanction pécuniaire prévue pour certaines infractions.
L’interdiction d’exercer une activité peut être une peine complémentaire. La suspension de certains droits peut être ordonnée par le juge. La
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confiscation des biens peut être prononcée en cas d’infraction économique. Le sursis permet d’éviter l’exécution immédiate d’une peine sous conditions. La probation impose des obligations au condamné pour éviter l’incarcération. Une mesure de sûreté vise à prévenir la récidive d’un condamné. Le préjudice causé par une infraction peut donner lieu à une réparation. Le dommage subi par la victime doit être prouvé pour obtenir une indemnisation. L’auteur d’une infraction est la personne qui l’a matériellement commise. Un coauteur partage la responsabilité avec un autre auteur. Un instigateur pousse une autre personne à commettre une infraction. Le bénéficiaire d’une infraction profite des fruits d’un acte illégal. La prescription empêche les poursuites après un certain délai. L’action publique est exercée par le parquet pour réprimer une infraction. L’enquête permet de rassembler des preuves pour établir la réalité d’une infraction. La procédure pénale
encadre toutes les étapes d’une affaire judiciaire. L’arrestation d’un suspect doit respecter les règles de procédure. La garde à vue permet aux
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enquêteurs de retenir une personne pour l’interroger. L’audition d’un témoin est une étape clé de l’enquête judiciaire. La mise en examen intervient lorsque des indices graves pèsent sur un suspect. L’instruction est menée par un juge pour approfondir l’enquête. Un juge est chargé d’examiner les éléments de l’affaire avant de juger. Un magistrat peut être procureur ou juge selon ses fonctions. La défense d’un accusé est assurée par un avocat. La plaidoirie est l’exposé oral de l’avocat devant le tribunal. Le réquisitoire est la demande de peine formulée par le procureur. La preuve est essentielle pour établir la culpabilité d’un prévenu. Un témoignage peut influencer le cours d’un procès. L’expertise permet d’évaluer certains faits grâce à un spécialiste. Un constat officiel peut être dressé par un huissier de justice. La flagrance permet l’arrestation immédiate d’un auteur pris en train d’agir. Une perquisition est menée pour rechercher des preuves au
domicile d’un suspect. La saisie d’objets liés à une infraction est décidée par la justice. Un aveu peut constituer un élément de preuve contre
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un accusé. Une dénégation est l’opposition d’un suspect aux accusations portées contre lui. Une circonstance aggravante peut alourdir la peine encourue. Une circonstance atténuante peut réduire la responsabilité du prévenu. La qualification juridique d’une infraction est déterminée par le juge. L’interprétation des lois pénales peut évoluer avec la jurisprudence. La doctrine éclaire les juges sur l’application du droit pénal. Le code pénal regroupe l’ensemble des infractions et des sanctions prévues par la loi. La répression des infractions vise à garantir l’ordre public. Une infraction continue s’étend sur une durée prolongée. Une infraction instantanée se produit en un seul acte. La faute pénale peut résulter d’une action ou d’une omission.Une infraction d’habitude repose sur la répétition d’actes interdits. Une infraction collective est commise par plusieurs personnes en concertation. L’intention criminelle est un élément central dans de nombreuses infractions.
Le trouble à l’ordre public justifie l’intervention des autorités judiciaires. L’atteinte aux biens concerne les infractions contre le patrimoine.
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L’atteinte aux personnes porte sur des infractions contre l’intégrité physique ou morale. L’homicide est l’acte de donner la mort à autrui. Le vol est la soustraction frauduleuse d’un bien appartenant à autrui. L’escroquerie repose sur la tromperie pour obtenir un avantage indu. L’abus de confiance est le détournement d’un bien confié par une autre personne. Le faux et l’usage de faux sont des infractions liées à la falsification de documents. La corruption consiste à obtenir un avantage en échange d’une faveur illicite. Le trafic regroupe les échanges illégaux de biens ou de substances interdites. Le recel consiste à détenir un bien provenant d’une infraction. Le blanchiment vise à dissimuler l’origine illicite d’un revenu. L’extorsion est l’obtention d’un avantage par la contrainte. La menace est une infraction visant à inspirer la
crainte d’un mal. Le chantage repose sur l’exploitation d’une information compromettante. Le harcèlement peut être moral ou sexuel et
entraîne des sanctions. La violence est une atteinte à l’intégrité physique ou psychologique. Une agression est un acte violent commis contre une personne. La violation de domicile est l’entrée illégale dans le logement d’autrui. L’effraction est l’entrée forcée dans un lieu privé. La destruction de biens entraîne des poursuites judiciaires. La dégradation de propriété peut être intentionnelle ou involontaire. L’incendie volontaire est une infraction grave pouvant mettre des vies en danger. La mise en danger d’autrui peut être sanctionnée même sans dommage effectif. La non-assistance à personne en danger est un manquement punissable. Le détournement de fonds publics est une infraction financière. La fraude consiste en une tromperie volontaire à des fins illicites. L’abus de faiblesse vise à exploiter une personne vulnérable.
L’exercice illégal d’une profession peut être poursuivi en justice. La dénonciation calomnieuse consiste à accuser faussement une personne.
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La diffamation est une atteinte à l’honneur d’autrui. L’injure est une offense verbale ou écrite envers une personne. L’outrage concerne les insultes contre une autorité publique. L’usurpation d’identité est l’utilisation frauduleuse de l’identité d’autrui. L’exploitation illégale de travailleur est une infraction sanctionnée. Le proxénétisme encadre l’exploitation de la prostitution d’autrui. La traite des êtres humains est un crime grave sanctionné internationalement. L’enlèvement consiste à priver une personne de sa liberté. La séquestration illégale est une infraction privative de liberté. Le terrorisme est une infraction visant à semer la terreur. La trahison est une atteinte à la sécurité nationale. L’espionnage est la transmission d’informations confidentielles à un tiers. La falsification de documents est une infraction passible de lourdes
sanctions. L’entrave à la justice consiste à empêcher le bon déroulement d’une procédure.
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victime d’infractions,
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d’enquête (garde à vue) ;
d’instruction (juge d’instruction, chambre de l’instruction) ; devant la
chambre de jugement et enfin,
pendant la phase judiciaire (après le procès, auprès de l’administration
pénitentiaire par exemple).
VI). — Les domaines d’intervention du cabinet Aci
(Les concours réels d’infractions)
Cabinet d’avocats pénalistes parisiens
D’abord, Adresse : 55, rue de Turbigo
75 003 PARIS
Puis, Tél. 01 42 71 51 05
Ensuite, Fax 01 42 71 66 80
Engagement, E-mail : contact@cabinetaci.com
Enfin, Catégories
Premièrement, LE CABINET
En premier lieu, Rôle de l’avocat pénaliste (Les concours réels d’infractions)
En somme, Droit pénal (Les concours réels d’infractions)
Tout d’abord, pénal général (Les concours réels d’infractions)
Après cela, Droit pénal spécial : les infractions du Code pénal
Puis, pénal des affaires
Aussi, Droit pénal fiscal
Malgré tout, Droit pénal de l’urbanisme
De même, Le droit pénal douanier
En outre, Droit pénal de la presse
Et ensuite
Donc, pénal routier infractions
Outre cela, Droit pénal du travail
Malgré tout, Droit pénal de l’environnement
Cependant, pénal de la famille
En outre, Droit pénal des mineurs
Ainsi, Droit pénal de l’informatique
En fait, pénal international
Tandis que, Droit pénal des sociétés
Néanmoins, Le droit pénal de la consommation
Toutefois, Lexique de droit pénal
Alors, Principales infractions en droit pénal
Puis, Procédure pénale
Pourtant, Notions de criminologie